La famille Boidron a commencé l’élaboration du vin à partir de 1760.
La famille Boidron a commencé l’élaboration du vin à partir de 1760. De génération en génération, le vignoble s’est étendu et comprend aujourd’hui 70 ha de vignes sur 6 appellations.
Le Château Corbin Michotte est situé dans la zone graveleuse de Saint-Émilion. Son vignoble de 7 hectares se trouve entre Pomerol et Saint-Émilion, proche de Cheval Blanc, Figeac et de Petrus pour sa limite Pomerol. La famille est partie prenante : Jean-Noël Boidron (Œnologue, ancien Professeur à l’Institut d’œnologie de Bordeaux, Membre de l’Académie Internationale du Vin et de l’Académie des Vins de France), Hubert Boidron (Œnologue, responsable de production vignes et vins), Emmanuel Boidron (Master Marketing, DUAD, responsable commercial), Isabelle Boidron (DESS Gestion et Droit vitivinicoles).
La typicité du vin est due à son sol sablo-limoneux noir reposant sur un sous-sol sablo argileux fortement ferrugineux (crasse de fer), avec quelques graves en surface. Il s’agit d’une nappe alluviale de l’Isle. La vendange est effectuée à la main, les raisins sont triés manuellement sur une table de tri vibrante. Longue macération avec dégustation quotidienne. L’élevage se fait en fûts neufs et de un vin pendant 18 à 24 mois. Leur proportion en est décidée chaque année en fonction de la dégustation. Les arômes du bois ne doivent jamais effacer le fruité dû au terroir, mais seulement l’enrichir.
Les vins sont racés car ciselés par les trois œnologues de la famille (Jean-Noël Boidron et ses enfants, Hubert et Isabelle), qui en font d’excellents pur-sang. La complexité de leur bouquet et le velouté de leurs tannins sont leurs premières qualités inimitables.
Dans un cru de la famille Boidron, il y a une philosophie qui exprime, comme dans les arts, un choix esthétique défini par cette devise : Excellence, Harmonie, Humilité.”
La qualité des millésimes
2015 : grand vin de couleur grenat, aux tanins très équilibrés, au nez subtil dominé par les petits fruits rouges à noyau et les épices, un vin riche en couleur et en arômes, aux notes de fruits macérés en finale, de bouche savoureuse, de garde.
2014 : un vin avec une structure dense, plein, au nez de griotte confite, aux tanins intenses mais délicats, très équilibré au nez comme au palais, avec une finale persistante de prune et d’humus.
2013 : très équilibré, au nez complexe où prédominent le cassis et le cuir, aux tanins bien fondus, ample et franc, un vin tout en bouche, de charpente à la fois puissante et souple, très représentatif des belles réussites de l’appellation dans ce millésime.
2012 : robe intense et vive, aux nuances de fumé et de groseille mûre, de bouche équilibrée avec du fruit et une structure dense et soyeuse, est un vin complexe, ample au palais où prédominent le cassis et le cuir.
L'origine du Château remonte au XVIIe siècle. Représentant la 4e génération de la famille, Jean-Pierre Dubreuil conduit avec passion le vignoble de 15 ha, en digne héritier du labeur de ses ancêtres. Culture raisonnée, vendanges à maturité optimale, vinification traditionnelle.
Toujours une référence pour ce Lussac-Saint-Émilion cuvée de la Chartreuse 2017, au nez dominé́ par la groseille et le poivre, charnu, aux tanins fondus, de bouche parfumé́e avec des notes de myrtille et d'épices, ample et velouté́, un vin qui poursuit son évolution. Le 2016, très parfumé, avec des notes de mûre et de griotte, c’est un vin riche en couleur, qui allie distinction et structure, aux tanins présents, de bouche soyeuse et puissante à la fois. Remarquable 2015, Merlot 75%, Cabernet-Sauvignon 20%, Cabernetfranc 5%, une cuvée élevée en fûts de chêne, de roberubis sombre, de bouche riche, aux senteurs de mûre et d’humus, aux tanins mûrs, un vingras, ample et distingué, de bouche flatteuse, où l’on retrouve le fumé et la cannelle en finale.
Joli Château de la Grenière 2017, il est charpenté, aux notes de pruneau et de sous-bois, un vin puissant, de très bonne bouche, de fort bonne évolution. Le 2016, tout en arômes, au nez de cerise confite et d’humus, riche,corsé, avec, au palais, des connotations de fraise des bois, velouté, parfumé, très harmonieux, de bonne garde. Très joli 2015, où la complexité s’allie à la distinction, c’est un vin savoureux, riche en couleur comme en charpente, aux taninsfermes et fins à la fois, aux arômes de fruits rouges cuits.
On poursuit avec ce Lussac Château Haut la Grenière 2016, typé comme nous les aimons, riche, où se mêlent la fraise, le cassis et la cannelle, bien équilibré avec ses tanins savoureux, un vin d’une belle harmonie, de couleur profonde. Agréable 2015, tout en bouche, aux taninssouples mais riches, il est dense, d'une belle longueur, très réussi, au nez mariant élégamment les fruits mûrs et les épices. Il y a aussi le Château de la Grenière Autrement 2018, alliant charpente et souplesse, avec des arômes complexes de prune, de sous-bois et de réglisse.
Au sommet. Si la vigne était déjà présente au XVe, c’est Alphonse Roulleau (1885-1957) qui oriente vraiment la production du Château de Rochettes vers le vin. Déjà présent au Salon de l’Agriculture de Paris avant la guerre de 1914-1918, il y remporte de nombreuses médailles. Suite au mariage de sa fille Raymonde Roulleau avec Louis Douet en 1946, la tradition se perpétue, et la commercialisation s’oriente vers la vente aux particuliers en fûts et en bouteilles. En 1974, c’est leur fils unique Jean Douet qui reprendra les rênes du vignoble. Passionné de vinsliquoreux, il mettra en place un groupe de travail au début des années 1990 pour la reconnaissance et la codification de la mention “sélection de grains nobles”. L’âge de la retraite approchant et n’ayant pas d’enfant intéressé par la reprise, il accepte de vendre le Château des Rochettes à Catherine Nolot, déjà propriétaire d’un vignoble voisin, le Domaine de L’Eté. Un vignoble de 25 ha où la conduite de la vigne se fait dans le respect du terroir et de l'environnement (enherbement).
Magnifique Coteaux-du-Layon Vieilles Vignes 2016, suave, où s’entremêlent des notes d’amande, de fruits mûrs et de bruyère, un vin qui allie intensité et souplesse.
Très belle réussite avec cet AnjoublancPièces du Moulin 2016, qui dégage des senteurs d’agrumes mûrs et de fleurs, un vin charmeur. Goûtez aussi l’Anjou-Villages Pièces du Moulin 2016, Liger d’or Concours du Val de Loire, il est typé, corsé et riche, au nez subtil de fruits à noyau. Et ce Crémant de Loire 15’49, médaille d’Or Paris 2018, très belle cuvée mêlant rondeur et nervosité, dégageant un nez de noisette et de lis, de mousse abondante et dense.
Ici, la relation entre la vigne et cette famille a débuté il y a six générations, en 1885. Depuis, chaque parcelle de vignes s'est transmise de père en fils, de père en fille, génération après génération. Le nom Moulin du jura est en souvenir d'un ancien moulin situé sur la Barbanne, petit ruisseau délimitant les appellations Montagne Saint-Émilion et Saint- Émilion. Ce moulin, aujourd'hui remplacé par leurs chais, a existé et fonctionné jusqu’au XIXe siècle. Un vignoble de 10 ha, où se côtoient le Merlot et le Cabernetfranc.
Voilà un excellent Saint-Émilion 2017, d’une belle structure avec beaucoup d’élégance, aux notes de fruits, de cannelle et d’humus, très équilibré au nez comme en bouche, est un vin tout en distinction. Remarquable Lalande-de-Pomerol Les Jardins du Moulin 2016, au nez de truffe et d’humus, un vin corsé, de très belle charpente, d’une belle finale. Et le Montagne Saint-Émilion Château La Croix-Jura 2016, a une robe intense, aux tanins à la fois riches et souples, très équilibré, bien charnu, au nez dominé par les fruits rouges et la truffe, de bouche puissante.
À la tête des Premiers Grands Vins Classés.
Domaine familial de 3.4 ha en Bourgogne, situé au coeur des plus Grands Crus rouges réputés de la Cote de Nuits, le Domaine des Monts Luisants ne produit que des vins rouges sur les 4 finages suivants :
- Morey Saint Denis, en Pierre Virant
- Morey Saint Denis 1er Cru Les Monts Luisants
- Morey Saint Denis 1er Cru Les Genavrières
- Clos de la Roche, Grand Cru
distinctifs de leurs solsargilo-calcaire caillouteux, à flanc de coteaux et exposés plein Est. Les vignes ont plus de 45 ans.
Des soins à la vigne à l’élevage sur chauffe blonde, jusqu’à la mise : des racines et du zèle, se plait à dire Jean-Marc DUFOULEUR.
« J’aime les vins plus dans la longueur que sur la largeur » Parole d’un grand ténor : M. Hubert de Montille. Pour Jean-Marc DUFOULEUR, tout est dit.
Le style est affirmé par la pratique de la vendange entière, toujours source de joyeuses poussées d’adrénaline, mais la main est douce pour laisser la plus grande place au Terroir.
Les goûts sont affaire personnelle. Certains seront addicts aux vinsjeunes, sur le croquant, quand d’autres sont en recherche de complexité. Les millésimes anciens se faisant rares, le domaine a constitué une collection de millésimes vénérables, témoins du temps qu’il a fait, et du temps qui passe.
Au domaine, le 2017 s’annonce d’excellente facture, et si les deux prochaines décennies devaient être l’égal des deux dernières, il n’y aurait pas à porter plainte, tant la nature a choyé la Bourgogne.
Le 2016 est un très beau millésime, très proche du 2010, solaire mais pas trop, puissant mais pas trop, fondu jamais assez.
Le 2015 a tout pour lui. Généreux et soyeux, sa puissance flirte avec l’élégance. C’est un gros numéro.
Et que dire des 2014 et 12, des 11 et 9… C’est beau, c’est bon. C’est racé et il y a du vin.
De robepourpre ou tuilée, exaltant des arômes de violette, de cassis, de musc, d’épices ou de sous bois, riche de tannins soyeux et savoureux, opulent, souple, puissant ou gras, mais toujours servi à table, le choix du vin, ici, n’est plus qu’affaire de préférence, et de circonstance.
Pourquoi pas :
- Morey Saint Denis, en Pierre Virant 2013… sur Bar grillé
- Morey Saint Denis 1er Cru Les Monts Luisants 2010… et Charolaise, Limousine ou Blonde d’Aquitaine
- Morey Saint Denis 1er Cru les Genavrières 2007… contre Coq au vin
- Clos de la Roche, Grand Cru 2000… sur une Ronde des Fromages
Chacun saura comment, et plus que tout, avec qui, partager sa DML.
❤❤❤❤ Le Château a fêté son centenaire. Il est né en 1917 suite à l?achat de plusieurs parcelles par Léonard Nebout à Castillon.?Les traitements sont uniquement fait avec du soufre contre l?oïdium et du cuivre (Bouillie Bordelaise) contre le mildiou, expliquent ces deux vignerons motivés et passionnés. Nous raisonnons nos passages en fonction de la pousse de la vigne et surtout de la pluviométrie. Depuis 2015, nous sommes en biodynamie. Cette pratique culturale met en scène la vie du sol, le végétal et le vin produit. Le but, relever l?identité de nos terroirs, l?harmonie.
Vous allez vraiment apprécier ce Castillon Côtes de Bordeaux 2017 Bio, vignoble de 14 ha, Merlot et Cabernet franc, élevé 18 mois en cuves, un vin de couleur grenat, au nez dominé par les épices et les petits fruits rouges à noyau, velouté, de bonne bouche, aux tanins présents et fondus à la fois, de bonne garde. Le 2015, d?un joli rouge soutenu, aux notes de fraise des bois et de griotte, associe structure et finesse, savoureux, de bouche persistante.
Très charmeur Castillon Côtes de BordeauxTerre à Terre 2016 Bio, un pur Merlot, élevé dans une amphore d?argile de Toscane durant 11 mois, sans soufre, étonnant par son fruit, de bouche suave, avec ces connotations subtiles de fruits rouges et de violette, très harmonieux.
Beau Castillon Côtes de Bordeauxcuvée Léonard 2016, médaille d?Or Paris 2018, élevé 12 mois en fûts, c?est un vin qui associe structure et velouté, de couleur grenat soutenu, aux connotations de fruits surmûris et de sous-bois, charnu, aux tanins amples (11,30€).
Excellent Bordeaux rosé Pink by Beynat (l?étiquette est particulièrement moderne et réussie), Merlot et Cabernet franc, de robe très limpide, au nez subtil de fraise et de rose, sec et friand, vif et parfumé en bouche, quand cet autre Bordeaux rosé Floyd by Beynat, pur Malbec, lui, de belle teinte, est finement épicé, tout en arômes, de bouche agréable, idéal sur une quiche ou à l?apéritf, notamment.
A tester également le BordeauxBlancSauvignon By Beynat 2018, au bouquet délicat, très fruité, rond et souple, de bouche fraîche et bien équilibrée (7,50€).
Joli BordeauxBlanc, marqué par son Sauvignon, issu d?une macération pelliculaire, aux notes de pomme et de fleurs, très séduisant, parfumé et persistant, de bouche intense, tout une finale vive.
Il y a également le Saint-Emilion 2016, médaille d?Or Concours Bordeaux 2018, issu d?un petit vignoble d?un hectare, bien marqué par les Cabernets, élevage en fûts 12 mois, au nez intense, où dominent la fraise des bois mûre et le cuir, mêlant structure et charnu, d?exccellente garde, naturellement.